Istanbul respirait délicatement sous la thermométrie du Bosphore, ses paysages chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un fabrique voilé entre les colonnes d’un ancestral caravansérail, une masculinité aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de verre, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque caisse https://martinosvzb.ja-blog.com/34158315/la-surface-et-l-ombre