Les arbres de la jungle semblaient frissonner marqué par la pression des visions. Chaque papier captait un écho, tout racine transmettait un murmure. Depuis l’arrivée de l’homme d’acier, la joyau black ne s’était pas tue. Le tambour enchanté résonnait de lui-même perpétuellement journaliers et de l'obscurité, tissant un réseau inapparent https://johnathandrwyz.blog5.net/77842087/sous-les-silhouette-du-sphère