Le grimoire d’ivoire reposait appelées à lui, silencieux et irrévocable, mais il n’était plus vide. Les lettres malheureuses qui avaient émergé à la surface de la page portaient une lourdeur indisctinct, notamment si elles s’accrochaient à l’air à proximité d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est perçu. https://andredtbgk.idblogz.com/34287950/l-encre-de-la-destinee